Le Temoin Haiti vous propose l’éco-geste de la semaine : aujourd’hui zoom sur ce qu’on appelle les 4R, vous connaissez ?
Parlons cette semaine de la consommation et de son impact sur notre planète. Il ne fait aucun doute que toutes les activités humaines ont des effets sur notre environnement et qu’elles favorisent le changement climatique et la dégradation de la biodiversité. Cela vaut également dans nos pratiques professionnelles qui nécessitent de nombreux équipements et objets. Sans entrer dans les débats théoriques autour de la décroissance, ni prôner un mode de vie fait de sobriété extrême ou un retour en arrière, on peut s’intéresser aux différents moyens de limiter notre consommation : voici quelques conseil pratiques !
Les 4 R : réduire, réutiliser, réparer et recycler
Limiter notre consommation, en particulier des objets divers et variés, peut limiter l’impact individuel sur le changement climatique et l’émission de carbone. Comment faire ? Voici le cycle des 4R :
Réduire : il s’agit de consommer le strict nécessaire et de ne pas céder à la surconsommation parfois encore valorisée par un modèle de société basée sur l’utilisation et l’acquisition de nombreux objets superflus au quotidien.
Réutiliser : il faut donner une seconde vie à ce qui existe déjà et favoriser la « seconde main ». Partout se développent des activités et des commerces spécialisés dans les produits d’occasion. Ce sont autant de ressources, d’énergie ou de matières premières que l’on évite de gaspiller en achetant ces produits d’occasion. En plus, c’est bon pour le porte-monnaie !
Réparer : là aussi, on assiste à une multiplication de commerces qui se destinent à la réparation des objets, alors qu’on avait trop cédé à l’acquisition perpétuelle de nombreux produits et à l’obsolescence programmée. Là encore, cela préserve les ressources.
Recycler : ne pas laisser traîner de vieux objets de téléphonie mobiles, d’électroménager ou d’informatique et privilégier le recyclage, c’est une très bonne pratique pour éviter le gaspillage, mais aussi la pollution. Ce n’est pas toujours facile ni opérationnel, mais c’est une bonne solution pour préserver nos ressources.
c/p: Maire de Bievres