L’asthme est une maladie inflammatoire chronique des bronches qui se manifeste par : des crises d’essoufflement, une toux, une respiration sifflante et, parfois, une gêne respiratoire permanente. L’asthme provient de l’association d’une prédisposition génétique à l’allergie et de facteurs environnementaux favorisants, comme les pollens, les acariens, les squames et poils d’animaux, les blattes, les moisissures, etc. Bien que l’on retrouve souvent une prédisposition familiale à la survenue d’un asthme, sa transmission des parents à leurs enfants n’est pas systématique.
L’origine de l’asthme est mal connue, mais elle pourrait être due en partie à l’hérédité. Nos poumons sont sensibles à différents agents, tels que le pollen, la pollution atmosphérique ou les substances chimiques puissantes. En termes simples, les personnes atteintes d’asthme ont des poumons qui sont plus sensibles que la moyenne.
Voici 4 mesures que vous pouvez mettre en vigueur pour traiter l’asthme :
Évitez les déclencheurs et demandez à votre médecin de vous écrire un « plan d’action contre l’asthme ». Ce plan d’action décrit comment évaluer vos symptômes d’asthme et comment prendre vos médicaments pour traiter cette maladie. Il explique également comment savoir si votre asthme s’aggrave et quoi faire dans un tel cas.
Si votre médecin vous le recommande, utilisez un médicament de prévention ou de contrôle comme des corticostéroïdes (par ex. de la béclométhasone?*, du budésonide, du ciclésonide, de la fluticasone ou de la mométasone) avec ou sans un bronchodilatateur à action prolongée (par ex. le salmétérol, le formotérol), des antagonistes des récepteurs des leukotriènes (par ex. le montélukast ou le zafirlukast) ou des anticorps anti-IgE (par ex. l’omalizumab).
Atténuez les symptômes en utilisant des médicaments de soulagement ou de secours comme les bronchodilatateurs à action rapide (par ex. le salbutamol, le formotérol ou la terbutaline).