Dans un tournant aussi audacieux que controversé, la Suède devient le premier pays à officialiser une compétition européenne centrée sur la performance sexuelle. Porté par une toute nouvelle fédération, cet événement inédit redéfinit les codes traditionnels du sport et de la sexualité, soulevant à la fois fascination et critiques. Entre promotion de la diversité sexuelle et questionnements éthiques, le championnat divise l’opinion et attire l’attention du monde entier.
À l’origine de cette initiative se trouve la Fédération Suédoise du Sexe, récemment créée pour encadrer cette nouvelle forme de compétition. L’événement, organisé à Göteborg, vise à évaluer les performances sexuelles de ses participants selon des critères bien définis, avec des épreuves variées telles que :
Endurance.
Créativité des positions.
Connexion émotionnelle entre partenaires.
Chaque épreuve est notée par un jury composé de professionnels du bien-être, de sexologues et de juges techniques.
Tous les participants sont majeurs, volontaires et testés médicalement. L’organisation insiste sur le respect du consentement et du bien-être des compétiteurs. Le championnat se veut une vitrine de l’acceptation des sexualités diverses et une manière de déstigmatiser la sexualité dans la société moderne.
Alors que certains saluent une avancée vers la liberté sexuelle et l’innovation sociale, d’autres y voient une banalisation excessive du sexe ou une dérive médiatique. Plusieurs pays européens ont exprimé leur désaccord et refusé d’y participer, tandis que d’autres suivent le projet avec intérêt.
Si le succès est au rendez-vous, la Suède pourrait ouvrir la voie à d’autres compétitions internationales, et même envisager une Fédération Mondiale du Sexe Sportif. L’idée d’une “Olympiade du Sexe” est déjà évoquée par certains organisateurs.
