Dans plusieurs pays tels que : Haïti, le Ghana, le Népal et le Mexique, la combustion des déchets est devenue une pratique courante, créant un problème environnemental important. En Haïti, cette tendance est exacerbée par un réflexe naturel consistant à brûler les déchets, libérant ainsi dans l’air une multitude de produits chimiques toxiques. Ces substances nocives ne se contentent pas de polluer l’air que nous respirons, mais elles ont également des répercussions graves sur le sol, les eaux de surface et les plantes.
Même si les déchets disparaissent de notre champ de vision après la combustion, les substances chimiques dégagées persistent, continuant à se propager dans l’air en ayant un impact direct sur notre santé. Parmi les toxines générées par la combustion des déchets, on compte le mercure, le dioxyde de carbone, la caldeira et l’oxyde d’azote.
Ces substances interagissent entre elles pour former d’autres composés nocifs, mettant en péril la santé humaine, animale et végétale. En outre, ces toxines contribuent à l’érosion de la couche d’ozone, laquelle est à l’origine du réchauffement climatique.
Il est impératif d’abandonner la pratique néfaste de brûler les déchets. Pour renoncer à cette pratique, encourageons la collecte des déchets par des entreprises spécialisées, pour qu’ils soient éliminés correctement dans des décharges. Le recyclage et la réutilisation des déchets doivent être encouragés de manière proactive pour réduire l’impact dévastateur de cette pratique sur notre environnement. Un appel urgent est lancé à tous pour adopter des mesures allant dans le sens du développement durable, afin de protéger notre planète contre les dangers potentiels de la combustion des déchets.
